Un x10 grâce au prochain boom pétrolier ?

 

Aujourd’hui, les médias financiers ne parlent que des banques en faillite.

Pourtant, dans cinq ans, la seule chose dont les investisseurs se souviendront à propos de 2023, c’est des prix scandaleusement bas des compagnies pétrolières et gazières.

J’ai alerté mes lecteurs à ce sujet la semaine passée.

En résumé, les investisseurs craignent que les récentes faillites bancaires n’entraînent une récession.

Or, une récession entraînerait une baisse de la demande de pétrole et de gaz. Les marchés et les prix ont donc chuté.

C’est pourquoi les prix du pétrole ont atteint lundi leur plus bas niveau depuis 15 mois, Goldman Sachs réduisant son objectif de prix à 75 dollars le baril.

Mais dans les prochains mois, les choses vont être complètement différentes…

Le marché du pétrole subit un raz-de-marée de la demande

Le pétrole est la ressource économique la plus stratégique au monde.Plus nos économies se développent, plus nous avons besoin de pétrole.

La demande augmente donc plus rapidement que jamais aux États-Unis et en Europe.

Mais elle monte encore plus vite dans les pays qui se modernisent rapidement, comme l’Inde.

Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le monde consommera plus de 104 millions de barils de pétrole par jour d’ici la fin de l’année… et la production sera insuffisante.

Le graphique ci-dessous est basé sur les projections de l’AIE, le déficit étant surligné en bleu :

En bref, nous manquons déjà de pétrole.

Cela pourrait rapidement entraîner une hausse des prix, de longues files d’attente à la station-service, voire des coupures d’électricité.

Tout cela survient après des décennies d’augmentation de la demande de pétrole.

C’est le genre de chose que tout le monde aurait pu voir venir en jetant un coup d’œil rapide aux chiffres.

Qu’ont donc fait les « génies » de Washington pour préparer et protéger le pays ?

Un accord brutal

Les énergies renouvelables étaient l’une des pierres angulaires de la campagne présidentielle du président Biden.Depuis son entrée en fonction, il s’est fait un point d’honneur de partir en guerre contre les combustibles fossiles, en fixant des échéances strictes pour l’abandon du pétrole, du gaz et du charbon.

Ce mois-ci, il a promis de proposer un projet de loi visant à supprimer 13 milliards de dollars de subventions au pétrole et au gaz.

Cela signifie qu’il faut mettre fin aux incitations spéciales accordées aux foreurs et aux explorateurs.

Tout cela est une bonne nouvelle pour les sondages de Joe Biden, mais cela n’aidera pas le portefeuille des Américains à long terme.

Pourtant, l’Amérique est parfaitement capable de devenir un exportateur net d’énergie.

Nous sommes même devenus autosuffisants avec des exportations nettes d’énergie pour la première fois en 2019, sous l’administration précédente.

Mais tout effort réel visant à accroître la production pétrolière américaine se heurtera à la ligne de parti des démocrates.

En conséquence, l’offre de pétrole est sérieusement handicapée… Alors qu’un raz-de-marée de demande déferle sur le monde entier.

Et je n’ai pas besoin de vous expliquer ce qu’il se passe au niveau des prix quand la demande explose et que l’offre se réduit…

Un boom pétrolier multiplié par 10

Je n’ai pas vu d’opportunité d’investissement plus évidente au cours des dernières années.Ceux qui pensaient que le pétrole et l’essence étaient chers l’année dernière, alors que le baril de pétrole atteignait 120 dollars et que l’essence coûtait 2 euros le litre, risquent de s’en mordre les doigts.

Certains analystes prévoient déjà un prix de 150, 200 ou plus.

Je ne fais pas de prédictions, mais je vais vous faire part de quelques FAITS.

Le pétrole a déjà augmenté de 1 000% à deux reprises au cours des 50 dernières années.

En 1973, l’OPEP a décrété un embargo sur le pétrole à destination des États-Unis.

En conséquence, les prix sont passés de 3,50 $ à 40 $ le baril.

La même chose s’est produite à partir de 1998. Les tensions mondiales augmentent et la croissance de l’économie chinoise fait passer les prix de 12 à 140 dollars le baril…

C’est plus de 1 000% d’augmentation.

Il y a deux ans, le pétrole est tombé à 50 dollars le baril. Si le pétrole augmente de 1 000% … nous parlons d’un pétrole à 500 dollars, au minimum, au cours de la prochaine décennie.

Et il est possible qu’il monte encore plus haut.

En effet, par le passé, lorsque le pétrole a fait un bond de 1 000%, la plupart des gens ont été pris par surprise… ils ne l’ont même pas vu venir.

À l’heure actuelle, un prix de 500 dollars pour le pétrole peut sembler un peu exagéré, mais nous avons déjà assisté à ce type d’augmentation de 10 fois le prix du pétrole dans un passé pas si lointain.

Les investisseurs dans le pétrole pourraient faire fortune au cours des prochaines années.

Après avoir passé en revue des centaines d’actions, j’ai trouvé mon meilleur choix.

J’ai rédigé un rapport spécial sur les 3 sociétés qui vont tirer leur épingle du jeu avec cette nouvelle crise énergétique.

Pour les premiers investisseurs, les gains pourraient grimper jusqu’à +1’745% !

Mais je vous explique tout dans mon rapport complet.

Charles Mizrahi

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