Blockchain : ne faites pas cette erreur !

Je passe beaucoup de temps à “évangéliser” mon entourage au sujet de la blockchain. Et pourtant je compte (encore) quelques sceptiques parmi mes proches.

En fait, c’est plus par incompréhension que réelle hostilité que certains ne croient pas dans l’avenir des cryptos. Ils ne comprennent pas le potentiel de la technologie.

Mais surtout, j’ai remarqué qu’ils faisaient tous la même erreur de jugement. Et c’est justement ce dont j’aimerais vous parler aujourd’hui. 

Car elle pourrait vous faire passer à côté d’une opportunité comparable au développement d’internet.

La blockchain va changer la vie de milliards de personnes non bancarisées à travers le monde

Si vous me lisez, il y a de grandes chances pour que vous viviez dans un pays développé, avec une monnaie et un système politique relativement stable :

Vous n’avez sans doute jamais eu à vous inquiéter de l’hyperinflation… (je pense notamment au Venezuela qui sort de 4 années d’hyperinflation, où celle-ci pouvait atteindre les 3000% par mois !)

Vous n’avez sans doute jamais eu à vous inquiéter de votre accès aux services bancaires… En France, plus de 99% de la population dispose d’un compte bancaire. Ce chiffre tombe à 8% dans certains pays d’Afrique comme le Burkina Faso.

Autrement dit : il est difficile, dans notre position, de nous rendre compte à quel point la blockchain et les crypto-monnaies sont une technologie miraculeuse pour la moitié de la population mondiale.

Ce n’est donc pas un hasard de la voir se développer aussi rapidement en Afrique, qui pourrait bientôt devenir le continent de la crypto.

La technologie blockchain fait un bond en avant en Afrique

En plus d’apporter une solution à la très faible bancarisation du continent africain, la blockchain répond au problème de la transparence pour les investisseurs et les donateurs.

Elle contribue ainsi au développement économique : rien qu’au premier trimestre 2022, elle a permis aux startups africaines de lever 91 millions de dollars.

Pour vous donner une idée : au premier trimestre 2021, les startups africaines n’avaient levé que 5 millions de dollars…

Soit une croissance de +1668% d’une année sur l’autre !

Parmi les entreprises africaines les plus dynamiques dans le domaine de la blockchain on retrouve :

  • Valr (Afrique du Sud), l’un des plus grands échanges de crypto-monnaies d’Afrique.
  • Aza Finance (Kenya), une plateforme de change et de paiement.
  • Jambo (Liberia), un développeur de logiciels qui construit l’écosystème Web3.
  • DeFiHorse (Seychelles), qui réalise un jeu métaversé comportant des NFT.
  • Wicrypt (Nigeria), qui permet aux utilisateurs de partager leur Wi-Fi en échange de cryptos.

Notez que moins de la moitié des 1,2 milliard d’Africains ont accès à Internet aujourd’hui.

Mais ce nombre devrait rapidement augmenter dans les années à venir.

Source : Statista

L’utilisation d’Internet continue de croître, tout comme la demande de services basés sur la blockchain. Et cela va largement bénéficier au développement des startups en Afrique. 

Dans son rapport paru le 23 mai dernier, la société Crypto Valley Venture Capital (CV VC) a ainsi estimé qu’on verrait les premières licornes¹ africaines d’ici deux à trois ans.

Un virage à 180° pour la législation crypto des pays d’Afrique

Jusqu’à présent, les réglementations étatiques autour des crypto-monnaie ont freiné l’adoption de la blockchain en Afrique.

De nombreux pays, comme le Ghana et le Nigeria, ont interdit aux institutions financières de négocier des cryptos.

Les pays du Maghreb ont même rendu illégal la possession de cryptos.

Voici une carte, extraite du rapport CV VC, qui récapitule la situation. En noir les pays où les cryptos sont totalement légales. En violet, on retrouve les pays qui ont partiellement ou totalement interdit les cryptos.

(Source : CV VC.)

Mais ces lois pourraient vite changer. 

Gardez à l’esprit que l’Afrique est le continent le plus jeune de la planète avec 60% des Africains qui ont moins de 25 ans. Beaucoup de ces jeunes sont fans de technologie et possèdent des smartphones. 

Beaucoup n’attendent qu’une chose : pouvoir accéder à de meilleurs services financiers, comme le reste du monde.

D’ailleurs, en avril dernier, la République Centrafricaine a même été le 2e pays au monde à adopter le Bitcoin comme monnaie légale.

Une révolution pour le monde entier

On l’a vu, selon les pays, le taux de bancarisation africain varie entre 8 et 60% selon le pays (contre 99% pour la France). 

La majorité n’a donc pas accès à un compte ou une carte bancaire. C’est pourquoi l’arrivée de la blockchain pourrait radicalement changer la donne.

Mais l’Afrique n’est pas le seul continent concerné. En fait, c’est l’ensemble du secteur financier mondial (estimé à 100’000 milliards de dollars) qui est concerné.

Et il y a 1 Crypto Nouvelle Génération qui est à l’avant-garde de cette révolution mondiale.

D’après notre expert Ian King, elle pourrait devenir 20 fois plus importante que le bitcoin.

Dans sa nouvelle présentation, Ian vous explique comment elle va transformer votre quotidien et surtout, comment vous pouvez investir pour miser sur la technologie blockchain.

 

 


¹ Une licorne est une société évaluée à 1 milliards de dollars ou plus

Tanguy Leroy

2 réponses

  1. Bonjour , je souhaiterais avoir des renseignements sur la Blockchain car je rencontre de gros problèmes avec eu pour récupérer mes gains , il me demande toujours de l ‘agent cela a commencé par un ; Justificatif d ‘activité d’un montant équivalent a mes gains en suite un Licence temporaire générale qui ma couté une fortune maintenant il me demande de payer 30 % pour les cotisations sociale et les impots sur la totalité (les gains realisé et le justificatif d ‘activite ) se qui represante sur les gains reelle plus de 60% vue qu ‘il mon demandait regle des frait et taxe de bourse .Est-ce bien serieux j ai de gros doutes .Merci

    1. Bonjour,

      Je suis navré, mais je ne comprends pas bien votre question. J’ai l’impression qu’il est question de difficultés techniques avec la plateforme que vous utilisez d’une part et de vos déclarations d’impôt d’autre part. Dans ces conditions-là, je suis malheureusement dans l’impossibilité de vous aider, à moins que vous me donniez plus de détails.
      A très vite

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