Bitcoin gagne un nouvel allié milliardaire

Certains milliardaires adorent détester le bitcoin. Je pense notamment à un certain Warren Buffet qui l’a qualifié de “mort-aux-rats” (pour finalement investir 1 milliards de dollars dans une banque axée crypto en février dernier).

Ou encore Jamie Dimon, PDG de JP Morgan Chase qui a déclaré qu’il ne valait rien, avant de retourner sa veste et de prédire un Bitcoin à 150’000$. Aujourd’hui, sa banque est entièrement tournée vers la blockchain et les cryptos.

D’autres milliardaires ont tout de suite reconnu le potentiel des crypto-monnaies. Le dernier en date, c’est le milliardaire Bill Miller qui s’est autoproclamé “Bitcoin Bull”¹ en affirmant que son portefeuille personnel était composé à 40% de Bitcoin  

La semaine dernière, il en a remis une couche en parlant du Bitcoin comme d’une garantie contre une catastrophe financière. En fait, tout ce qu’il a dit la semaine dernière correspond presque mot pour mot à ce qu’affirme notre expert Ian King depuis des années.

Bill Miller et Ian King : Réflexions sur le Bitcoin.

Voici ce qu’a dit Bill Miller sur une potentielle crise bancaire

« Je considère le bitcoin comme une police d’assurance contre la catastrophe financière. […] Avec le bitcoin, nous ne pouvons pas être anéantis par le gouvernement. »

Ian King disait déjà la même chose en mai 2018

« [Le bitcoin] sera une force libératrice car les citoyens pourront détenir davantage de leur propre valeur et ne seront pas soumis aux caprices d’un gouvernement prodigue ou d’un intermédiaire monopolistique. »

Sur la critique de Warren Buffett selon laquelle le bitcoin n’est pas un actif productif, B. Miller a commenté : 

« L’objectif de l’investissement n’est pas de posséder des actifs productifs. L’objectif est de gagner de l’argent. »

Là encore Ian l’a précédé de plusieurs années en disant : 

« Peut-être que le vieux Warren s’est simplement trompé sur ce point. Quand on a 84 milliards de dollars en banque, il est difficile d’avoir de l’empathie pour le petit gars qui essaie de mettre de la nourriture sur la table dans des pays lointains. Peut-être n’a-t-il pas compris comment les investissements dans le nouvel « internet de la valeur » fonctionnent réellement. »

Sur le crash de 99,99% de LUNA

« Mike Novogratz s’est fait tatouer un gros tatouage LUNA sur le bras il y a quelques mois, avec un loup qui hurle à la lune. Il s’est dit : « Oups, tu aurais peut-être dû te faire tatouer un castor en bitcoins, ou quelque chose d’un peu plus durable ».

Si Mike Novogratz s’était abonné à la publication de Ian King, il aurait su qu’il fallait se retirer en décembre 2021 : 

Enfin, sur l’inflation galopante, Bill Miller a ajouté : 

« Lorsque la Fed est intervenue pendant la pandémie […] les bitcoiners ont compris qu’on allait avoir une inflation énorme. C’est pour cette raison que le bitcoin a crevé le plafond l’année dernière. Donc je pense que c’est une police d’assurance. »

Là encore, Ian en parlait déjà en 2018. À l’époque, il a dit : 

« Et le meilleur dans tout ça, c’est que la valeur du bitcoin est uniquement liée au marché libre, ou au prix que les acheteurs et les vendeurs sont prêts à payer pour cet or numérique. […] Il n’y a pas d’autorité centralisée supervisant le réseau qui puisse dévaluer ou voler votre monnaie. […] Si je ne peux pas prédire quel pays connaîtra la prochaine crise, je peux vous assurer que le bitcoin sera une réserve de valeur alternative. »

Miller est peut-être devenu un grand fan des cryptomonnaies aujourd’hui, mais ça fait des années que notre expert Ian en parle à ses lecteurs.

Les milliardaires se ruent sur la Crypto Nouvelle Génération. Voici comment les imiter :

Bien qu’il soit un peu en retard, Bill Miller est loin d’être le seul milliardaire à s’extasier sur les cryptomonnaies.

Après le Bitcoin, ils sont nombreux à se tourner vers ce que Ian King appelle la Crypto Nouvelle Génération.

Elon Musk, Mark Cuban ou encore Ray Dalio possèdent tous cette Crypto Nouvelle Génération.

Le gestionnaire de fonds spéculatifs Ken Griffin pense même qu’elle finira par remplacer le bitcoin.

Et Cathie Wood (PDG de Ark Invest) en a récemment parlé en prédisant une croissance de +7’200% d’ici la fin de la décennie.

Regardez vite la nouvelle présentation de Ian King où il explique comment cette crypto a le pouvoir de révolutionner l’industrie financière mondiale, estimée à 100’000 milliards de dollars.

Il vous suffit de cliquer ici pour la regarder.

 

 


¹Dans le jargon boursier, un “Bull”, ou taureau en français, désigne les investisseurs qui anticipent une hausse des actifs et qui investissent en passant à l’achat ou en renforçant leur position. Un comportement “bullish” est donc un comportement d’investisseur optimiste, par opposition au “Bear”, ours en français, qui sont l’inverse, à savoir les investisseurs pessimistes.

Tanguy Leroy

3 réponses

  1. Bonjour,
    Je suis tout à fait néophyte dans les cryptos donc j’interprète peut-être mal les choses, mais je ne comprends pas que l’on puisse considérer ces actifs comme imprenables ou complètement indépendants car lorsque dans votre article lorsque vous mentionnez Bill Miller :
    « Avec le bitcoin, nous ne pouvons pas être anéantis par le gouvernement. »
    et Ian King :
    « [Le bitcoin] sera une force libératrice car les citoyens pourront détenir davantage de leur propre valeur et ne seront pas soumis aux caprices d’un gouvernement prodigue ou d’un intermédiaire monopolistique. »
    Pourtant, sauf erreur de ma part il me semble qu’actuellement et suite aux sanctions économiques ordonnées par les Etats-Unis contre la Russie, il n’est plus possible d’ouvrir un compte Binance par exemple avec des références bancaires domiciliées en Russie ou une carte Visa / Mastercard délivrée dans ce pays ni d’effectuer certaines opérations sur des comptes déjà existants.
    Quelle qu’en soit la raison, si un jour un état criminalise les cryptomonnaies autres que les StableCoins, les plateforme seront bien obligées de suivre le mouvement… non ?
    Cordialement.

    1. Bonjour !
      Et merci pour votre commentaire. C’est une très bonne question.
      Vous avez tout à fait raison. Un État peut choisir de criminaliser les crypto-monnaies, au même titre qu’il peut décider de vous interdire d’acheter des actions en bourse. Je ne crois pas à ce scénario bien qu’il reste une possibilité. Je pense plutôt que les États occidentaux vont tout faire pour réguler ce milieu pour qu’il soit taxé correctement, sans pour autant tenter de l’interdire.
      Ce qui m’amène à mon 2e point : fermer l’accès au site Binance n’aurait pas de sens non plus. Binance est une plateforme qui facilite considérablement l’achat la vente et la détention de crypto-monnaies. Mais le principe des cryptos, c’est que vous pouvez les sortir de Binance pour les envoyer sur un portefeuille numérique (un wallet) ou même un support physique (comme un ledger par exemple). Certes, ce sera plus compliquer pour acheter et revendre, mais on pourra contourner le système. En fait, interdire une plateforme comme Binance pousserait surtout les plus gros investisseurs à fuir les plateformes et à utiliser des échanges décentralisés qui sont, par essence, non régulables.
      D’ailleurs, les discussions autour d’une éventuelle interdiction des crypto-monnaies aux Etats-Unis et en Europe ont rapidement été balayées. D’autre part, on se dirige vers plus de régulations pour taxer correctement les gains réalisés sur le marché crypto.
      J’espère que cela répond à votre question.
      A très vite

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