Ces dernières semaines le marché boursier a traversé de grosses turbulences. Depuis début avril, le Nasdaq et le S&P500 ont chuté de -18%. Un jour les actions sont en hausse, et le jour d’après elles baissent deux fois plus.

Mais il y a une chose qui ne baisse pas, c’est le coût de l’essence :

• En France, il a encore augmenté la semaine dernière, avec un prix qui avoisine désormais les 2,1€/L.
• Aux Etats-Unis, le prix moyen vient d’atteindre un nouveau record, à 4,4$/gallon, alors même que l’administration Biden a puisé dans ses réserves stratégiques pour limiter la hausse.

Et la situation n’est pas prête de s’améliorer. Car malgré la pression occidentale, les pays de l’OPEP refusent d’augmenter la production.

Une mauvaise nouvelle pour les automobilistes, mais une opportunité inédite pour les investisseurs qui veulent investir dans la révolution du 100% électrique. Car rouler à l’électrique est maintenant plus rentable que le diesel.

Le prix du pétrole, condamné à augmenter ?

Début mai 2022, l’OPEP refuse toujours de compenser la production de pétrole russe sous embargo des Occidentaux

Officiellement l’OPEP estime que les fondamentaux ne justifient pas une hausse de la production de pétrole.

Mais c’est bien sûr en soutien à la Russie que l’OPEP ignore les appels du pied de la Maison Blanche.

En 2016, l’OPEP et la Russie ont noué une alliance pour contrer l’essor du gaz de schiste américain et depuis ils ont fait preuve d’un soutien sans faille. 

Ensemble, Russie et OPEP fournissent 55% du pétrole mondial. Et c’est bien sûr dans leur intérêt (Russie en tête) de maintenir des prix élevés. 

L’OPEP+ suit les intérêts de la Russie

Autrement dit : les prix ne sont pas prêts de baisser. D’après Crédit Suisse, il pourrait manquer l’équivalent de 2 millions de barils de pétrole par jour, jusqu’à la fin de l’année 2022.

Conséquence : le prix de l’essence a explosé, entraînant une forte hausse des commandes de voitures électriques. A tel point que Tesla affiche désormais plus d’un an d’attente pour sa Model 3.

Et c’est une excellente nouvelle pour nous investisseurs…

Nous sommes au point de bascule, au début de l’adoption de masse du 100% électrique

Aujourd’hui, la production de véhicules électriques peine à suivre la demande. 

Avec les pénuries de composants, les fabricants n’ont pas d’autre choix que d’augmenter les prix : en France, Tesla et Ford ont augmenté le prix de leur modèle phare respectif de 6000€ chacun. 

Elon Musk a même annoncé qu’il envisageait de stopper la prise de commande. 

A priori, on pourrait penser que c’est un frein au développement des véhicules électriques…

Mais si vous voulez mon avis : la pénurie de semi-conducteurs et les problèmes de production seront temporaires. 

L’augmentation du prix du pétrole, elle, est inéluctable…

D’ailleurs, selon le véhicule électrique que vous achetez, rouler à l’électrique est déjà plus rentable que de rouler à l’essence :

D’après le site assurland.com, les Français parcourent 1600 km en moyenne par mois.

Et selon le véhicule, ces déplacements consomment en moyenne 6,8L/100km.

Avec un carburant à presque 2€ le litre, cela revient à un budget mensuel de :

6,8 x 16 x 2 = 217,6€

Regardons maintenant du côté des véhicules électriques qui consomment jusqu’à 22 kilowattheure (kWh) pour 100 km.

Avec un coût moyen de 0,18€/kWh, le budget mensuel de recharge revient donc à :

22 x 16 x 0,18 = 63,36€

Conclusion : rouler à l’essence coûte 3,4x plus cher que l’électrique.

Les véhicules électriques sont désormais un choix rentable

Que ce soit en France, en Europe ou au Etats-Unis, la tendance est partout la même : rouler à l’électrique devient plus rentable que l’essence.

Et cela se ressent dans les intentions d’achat.

Une étude américaine a ainsi révélé que la part des Américains qui envisageaient de passer à l’électrique avait augmenté de 10 points en quelques mois.

(Source : CarGurus.)

Alors que fin 2021, environ 30% des Américains déclaraient envisager l’achat d’un véhicule électrique dans les 5 ans, ils étaient 40% en avril 2022.

Et à l’horizon 10 ans, la tendance est la même avec une intention qui passe de de 52% à 60%.

Ces données ne font que confirmer ce que nous savons déjà : les véhicules électriques sont la marche de l’histoire.

Comment investir dans un marché inéluctable ?

La transition vers le 100% électrique n’est plus vraiment une question. Elle se produit (et accélère) déjà sous nos yeux.

Aujourd’hui, 1 voiture neuve sur 10 vendue dans le monde est électrique.

Ce qui veut dire qu’il reste 90% du marché à conquérir. Et notre expert Ian King a identifié le nom d’une entreprise qui devrait voir ses revenus exploser, à mesure que les véhicules envahissent nos routes.

En fait, peu importe si les constructeurs historiques comme Volkswagen ou Toyota parviennent à prendre le virage de l’électrique…

Peu importe si Tesla maintient son avance dans le domaine….

Car la quasi-totalité des constructeurs auront besoin d’un métal stratégique pour faire rouler leurs voitures électriques (et non : je ne parle pas du lithium).

Or, 70% de la production mondiale de ce métal est contrôlée par la Chine, de moins en moins coopérative. 

Et c’est la raison pour laquelle le Pentagone soutient discrètement l’un des rares producteurs occidentaux de ce minerai.

Ian King : “Investir dans cette société, c’est comme investir sur Tesla en 2019”

Avec les récentes corrections boursières, l’action de cette entreprise s’achète à un très bon prix. Et d’après notre expert, investir dans cette société pourrait vous permettre de faire du x10 d’ici 2030.

Mais il n’y a pas un instant à perdre, car l’entreprise vient de surprendre le marché avec des profits records. Il y a quelques jours à peine, elle publiait ses résultats trimestriels : +42% de bénéfices par rapport aux prévisions ! 

Une bonne surprise qui attire déjà les investisseurs. Alors ne laissez pas passer cette opportunité et allez vite découvrir cette présentation pour en savoir plus.