Cette crise de l’approvisionnement pourrait paralyser notre économie

 

Je n’oublierai jamais la première fois que j’ai posé les yeux sur elle…

C’était une Volkswagen Karmann Ghia de 1972 et elle avait l’air d’aller vite, même à l’arrêt.

Je me fichais que la voiture ait passé une dizaine d’années à prendre la poussière dans un garage.

Je ne me souciais même pas de la portée de chats errants qui avait élu domicile sur le siège passager.

Ce vieux tacot avec sa boîte de vitesses manuelle n’avait pas d’embrayage et fonctionnait avec un moteur quatre cylindres.

Dans un bon jour, elle pouvait dépasser une tondeuse à gazon. Dans les mauvais jours, je devais la lancer depuis le haut d’une colline pour faire redémarrer le moteur.

Il n’y avait pas de direction assistée ni d’ABS. La technologie la plus avancée était la radio.

Mais c’était ma voiture.

Je suis sûr que vous connaissez ce sentiment.

Mes seuls mauvais souvenirs viennent des fois où elle tombait en panne.

Parce que les pièces de rechange étaient presque impossibles à trouver. Il fallait plusieurs semaines (parfois plus) pour qu’un joint arrive d’Allemagne. Et ma voiture restait à l’arrêt dans l’allée.

Aujourd’hui, les industries du monde entier sont confrontées à un problème similaire… avec une marchandise en particulier.

La demande n’a jamais été aussi forte.

Pourtant, il est presque impossible de la trouver.

Et sans elle, des industries entières sont hors service… comme ma Karmann Ghia.

Cette pénurie d’approvisionnement a déjà des répercussions sur l’économie mondiale.

Et elle pourrait mettre à mal les plus grandes méga-tendances du secteur technologique – causant des ravages dans tous les domaines, des énergies renouvelables aux crypto-monnaies en passant par les smartphones.

Elle pourrait même être un frein à l’adoption massive des véhicules électriques (VE).

Mais cette menace existentielle n’a rien à voir avec l’inflation, la hausse des taux d’intérêt ou la volatilité du marché boursier.

Il s’agit de la « matière première » la plus précieuse du 21e siècle, qui a pratiquement disparu au cours des deux dernières années, non seulement ici, mais dans le monde entier.

Il ne s’agit pas non plus d’une pénurie typique de matières premières.

Ces dernières années, nous avons vu les prix monter en flèche pour tout, du bois au lithium, en passant par le cacao et le café. Le prix de l’essence a dépassé les 5 dollars le gallon cette année pour la toute première fois aux USA.

Mais la disparition de cette matière première pourrait littéralement paralyser l’économie.

Les gouvernements du monde entier traitent, à juste titre, cette crise comme une question de sécurité nationale :

  • Le gouvernement américain a déjà affecté 77 milliards de dollars à ce problème…
  • La Chine est prête à dépenser 150 milliards de dollars…
  • Et la Corée du Sud a promis plus de 250 milliards de dollars rien que pour les cinq prochaines années !

 

L’ampleur de cette pénurie d’approvisionnement ne ressemble à rien de ce que le monde a déjà vu.

Et mes recherches montrent que cette tendance pourrait être à l’origine de certaines des meilleures opportunités d’investissement de la prochaine décennie.

Quelle est donc cette matière première ? Que pouvons-nous faire pour éviter une pénurie dramatique ? Et quels investissements seront les grands gagnants ?

Pousser l’économie mondiale dans la « zone dangereuse »

Le produit de base dont je parle se trouve dans pratiquement tout ce que nous utilisons – de nos voitures à nos réfrigérateurs, en passant par les téléphones portables, les ordinateurs et presque tous les autres appareils électroniques.

Les Américains y sont plus dépendants que nous ne l’avons jamais été du pétrole.

Pour certains, il est aussi indispensable que l’air et l’eau.

Je parle de la puce semi-conductrice.

Vous avez probablement entendu parler de la pénurie de semi-conducteurs. Mais vous ne réalisez peut-être pas à quel point cette pénurie est devenue dévastatrice…

À la fin de l’année dernière, en raison de l’allongement des délais de livraison des semi-conducteurs, les acheteurs ont dû attendre 17 semaines pour passer leurs commandes.

Le Susquehanna Financial Group, qui surveille le secteur, a déclaré que la pénurie atteignait officiellement la « zone dangereuse ».

Mais en avril de cette année, les délais ont encore augmenté de 50%.

Désormais, les acheteurs attendent six mois ou plus pour recevoir leurs commandes.

Ces retards coûtent aux entreprises des milliards de dollars en bénéfices perdus…

Ford a déjà réduit sa production de 1,1 million de véhicules cette année en raison de la pénurie – manquant ainsi 2,5 milliards de dollars de profits potentiels. GM et Stellantis (propriétaire de Fiat Chrysler et de PSA) réduisent également leur production.

Ford livre même des voitures sans certaines des puces, non liées à la sécurité.

Cela signifie que vous pouvez vous rendre chez un concessionnaire aujourd’hui et acheter une voiture neuve équipée du chauffage et de la climatisation des sièges arrière, mais qu’elle n’aura pas les puces nécessaires pour contrôler ces fonctions.

D’autres constructeurs automobiles comme Volkswagen, Fiat Chrysler et Nissan ont fait de même. General Motors a expédié ses nouvelles camionnettes Silverado sans les puces nécessaires au système de gestion du carburant des voitures.

De son côté, le directeur financier d’Apple, Luca Maestri, s’attend à ce que le chiffre d’affaires de la société soit inférieur de 3 à 4 milliards de dollars ce trimestre en raison de « contraintes d’approvisionnement ».

Même le méga-fabricant Siemens est sous pression.

L’entreprise fabrique les systèmes d’automatisation qui alimentent les réseaux électriques, les bâtiments et les trains les plus avancés du monde. Le 11 août, elle a annoncé une perte de 1,7 milliard d’euros, soit plus de trois fois les estimations des analystes.

Et ces pertes étaient totalement évitables.

Cela devient douloureusement évident une fois que vous comprenez comment l’entreprise fonctionne…

Une industrie entière condamnée par la loi de Moore

Si vous êtes abonné à ma publication Fortune Stratégique, vous m’avez déjà entendu parler de la loi de Moore.

Cette loi stipule que le volume des transistors double tous les deux ans environ.

Cela signifie que les puces deviennent plus abordables et plus puissantes à un rythme exponentiel.

Mais je mentionne rarement la deuxième loi de Moore, moins connue.

Cette loi stipule que les progrès rapides de la technologie doublent le coût de construction d’une nouvelle fonderie de puces tous les quatre ans.

Ainsi, si une fonderie particulière coûte 100 millions de dollars à construire cette année, elle coûtera 200 millions de dollars en 2026. En 20 ans seulement, ce chiffre montera en flèche pour atteindre 3,2 milliards de dollars.

Cette hausse des coûts a entraîné une consolidation extrême de l’industrie.

Et la concurrence des prix a poussé la plupart de la production mondiale à l’étranger.

En 1990, les États-Unis et l’Europe représentaient 80% de la production de semi-conducteurs. Mais aujourd’hui, nous ne produisons plus que 20% des puces du monde.

Traduction : L’Asie de l’Est représente trois-quart de la production mondiale de puces

À l’heure actuelle, les trois quarts des puces du monde proviennent de Taïwan, de la Chine, de la Corée du Sud et du Japon. Taïwan produit à elle seule 92% des puces les plus avancées du monde.

C’est une dépendance très dangereuse.

Alors même que j’écrivais cet article, on apprenait que des avions taïwanais tiraient sur des drones chinois. L’escalade des tensions fait craindre à certains experts que la Chine n’engage une action militaire et ne s’empare de l’île.

Nous avons déjà assisté à une flambée des prix et à des problèmes de la chaîne d’approvisionnement à cause de la guerre commerciale de 2018, des blocages dus au coronavirus et de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Mais s’il y a un nouveau conflit ou même simplement un accroc dans la chaîne d’approvisionnement de Taïwan, les conséquences pourraient être dévastatrices.

C’est pourquoi Washington se presse enfin d’agir…

Ramener la fabrication en Amérique

Après avoir regardé pendant des décennies la production de nos puces dériver lentement vers l’étranger, les gouvernements occidentaux réalisent soudainement l’importance des fonderies nationales.

L’année dernière, la Maison Blanche a menacé d’invoquer le Defense Production Act pour les entreprises de semi-conducteurs.

Et il y a juste trois semaines, Biden a officiellement signé la loi CHIPS.

Cette loi promet 52 milliards de dollars de capitaux supplémentaires pour la construction de nouvelles fonderies ici aux États-Unis.

Thomas Caulfield, PDG de GlobalFoundries, s’attend à ce que la loi CHIPS libère 150 milliards de dollars de capitaux privés supplémentaires pour faire avancer les choses.

Le président Biden est allé droit au but : « Malheureusement, nous produisons actuellement zéro pour cent des puces avancées… Il n’est pas étonnant que le Parti communiste chinois ait fait activement pression sur les entreprises américaines contre ce projet de loi. »

Oui, vous avez bien lu cette dernière ligne.

La Chine a fait activement pression sur les entreprises américaines pour qu’elles s’opposent à ce projet de loi.

Cela peut sembler extrême, mais il y a une bonne raison à cela.

Les dirigeants chinois ont peur.

Selon l’institut Krach de Purdue pour la diplomatie technologique :

Le secrétaire général Xi Jinping soutient la fabrication de semi-conducteurs en Chine en engageant 1 000 milliards de dollars sur les 10 prochaines années. Il est terrifié à l’idée que les États-Unis s’engagent sur un équivalent. C’est exactement ce que pourrait faire la loi bipartisane CHIPS and Science Act…

Et il est peut-être déjà trop tard pour eux.

En effet, les grandes entreprises de semi-conducteurs accélèrent la mise en œuvre de nouveaux projets dans tous les États-Unis :

  • Intel est prêt à dépenser 20 milliards de dollars pour construire une « méga » fonderie à Licking County, dans l’Ohio.
  • La nouvelle fonderie de Samsung, d’une valeur de 18 milliards de dollars, située près d’Austin, au Texas, devrait entrer en service à la fin de 2023.
  • Et GlobalFoundries dépense 1 milliard de dollars pour une nouvelle usine à New York.

 

Ces nouvelles fonderies ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan en termes de production mondiale.

Mais elles sont aussi le signe que le vent pourrait tourner dans l’industrie.

Et cela signifie que la prochaine génération de sociétés de semi-conducteurs pourrait être sur le point de réaliser les mêmes gains massifs que ceux déjà observés par Nvidia, Intel et Samsung.

Voici pourquoi les valeurs de puces pourraient mener la charge en 2023 et au-delà

Les semi-conducteurs sont un élément crucial de toutes les méga-tendances technologiques actuelles, de l’informatique cloud et de la cybersécurité à l’intelligence artificielle, en passant par l’énergie solaire et les véhicules électriques, entre autres.

Aucune de ces tendances ne peut continuer à se développer sans un accès à un approvisionnement régulier de nouvelles puces.

De plus, les sociétés de semi-conducteurs sont souvent le meilleur moyen de tirer parti de ce type de tendances…

En effet, les entreprises de semi-conducteurs sont souvent plus matures que les autres entreprises de ce secteur.

Elles sont déjà rentables, remboursent de l’argent aux actionnaires et ont généralement des antécédents stables.

Micron (Nasdaq : MU) en est un excellent exemple…

La société est l’un des plus grands fabricants de mémoire informatique au monde. Il y a de fortes chances que Micron ait fabriqué la RAM de votre ordinateur ou de votre téléphone. C’est également un leader du secteur des puces automobiles, avec une plateforme sophistiquée pour le développement de l’IA.

Ainsi, au lieu d’investir dans l’une de ces tendances, vous pouvez opter pour une entreprise de haute technologie dont le chiffre d’affaires annuel s’élève à 27 milliards de dollars.

C’est une stratégie gagnante.

Au cours des cinq dernières années, l’ETF SPDR S&P Semiconductor (NYSE : XSD) a été le troisième fonds négocié en bourse le plus performant du marché, avec un gain de plus de 202%.

Et avec l’essor des technologies de nouvelle génération, ce secteur est à l’aube d’un grand boom.

Selon les analystes de PIMCO :

Nous pensons que le secteur connaîtra une croissance des bénéfices de l’ordre de 15 à 20% au cours des deux prochaines années – bien supérieure à celle du marché – grâce à une croissance continue à deux chiffres des revenus et à une expansion des marges. Nous prévoyons que les vents contraires séculaires et les pénuries de capacité de production alimenteront un fort pouvoir de fixation des prix, tout en atténuant la sensibilité économique.

Cela signifie la fin d’une industrie où 92% des puces proviennent de Taïwan.

Au lieu de cela, nous pouvons nous attendre à de nouvelles opportunités avec un énorme potentiel de gains.

Mais qu’en pensez-vous ?

Êtes-vous personnellement inquiet de notre dépendance vis-à-vis de la Chine, de la Corée et de Taïwan pour leurs exportations de haute technologie ?

Après tout, vous êtes probablement en train de lire ces lignes sur une tablette ou un ordinateur portable utilisant des puces provenant de ces pays.

Payeriez-vous un supplément pour une tablette estampillée d’un logo « Made in America » ou “Made in Europe” ?

J’attends vos commentaires avec impatience !

Encore plus précieux que les semi-conducteurs

La pénurie de semi-conducteurs n’est que la pointe émergée de l’iceberg. Aujourd’hui, même les médias mainstream en parlent.

Mais il y a une autre pénurie silencieuse qui sera encore plus dévastatrice pour notre avenir technologique, si nous ne parvenons pas à nous libérer du monopole de la Chine.

Il s’agit d’un composant indispensable dans la quasi-totalité de la technologie moderne : voiture électrique, smartphones, panneaux solaires, éoliennes, lasers, radars, batteries…

Son importance est telle, que la Maison Blanche a décrété l’urgence nationale pour rapatrier la production aux Etats-Unis. Joe Biden a même signé un plan de 500 milliards de dollars pour sécuriser la chaîne d’approvisionnement.

Parmi les entreprises qui vont bénéficier de ce plan, une pépite pourrait décoller et faire du x10 d’ici 2030

Sur son carnet de commande, elle compte déjà des clients comme General Motors et le Pentagone, à qui elle va fournir un métal indispensable pour les voitures électriques et les systèmes d’armement dernier cri.

J’ai recommandé cette entreprise à mes lecteurs de Fortune Stratégique  car je m’attends à voir son cours en bourse doubler au cours des 12 prochains mois.

Découvrez vite ce dossier spécial car j’y explique pourquoi j’ai vendu mes actions Tesla pour réinvestir dans cette société ultra-prometteuse.

Cliquez ici pour en savoir plus.

À très vite,

Ian King

Ian King

10 réponses

  1. Je lis « la pépite », je suis abonné , et … je ne reçois aucune vidéo comme indiqué sur ce mail … c est pas sérieux ! Vraiment pas !

    1. Bonjour Yohanan,

      Lorsque publions les messages de Ian King, nous en profitons toujours pour laisser un lien de présentation vidéo vers la publication premium. Si vous êtes déjà abonné, c’est donc normal que vous ne l’ayez pas reçu puisque la vidéo que vous évoquez est une vidéo qui présente la publication.

      Quant à la pépite mentionnée par Ian King, vous y avez déjà accès, en tant qu’abonné à Fortune Stratégique. Il s’agit de la société présentée dans le dossier spécial L’entreprise qui va dominer les 1’200% de croissance du marché des véhicules électriques. Je vous invite à lire le dossier disponible sur la plateforme Fortune Stratégique.

      À très vite !

  2. Bonjour, c’est avec enthousiasme et sans aucune hésitation que l’achèterais américain ou encore plus européen, même un peu plus cher. C’est une question de civisme .
    Il faut créer des emplois chez nous mais aussi créer des formations bien adaptées aux besoins de ces entreprises.

  3. Tout ça est bien intéressant de faire miroiter des gains importants sur telle ou telle à action avec pleins de cadeaux. Mais investir en bourse quand on n’a pas le B.A.BA et qu’on est novice est un cadeau bien plus utile. Avez-vous un guide pour savoir comment passer des ordres d’achats/ventes … Car suivre les recos de Ian King, ok mais faut-il savoir les appliquer ! Merci à vous pour votre réponse 😀

    1. Bonjour,
      Vous avez raison, ce n’est pas forcément évident si vous n’avez jamais investi en bourse. C’est pourquoi, dans le cadre de votre abonnement, vous avez également un dossier et une vidéo à votre disposition pour mettre le pied à l’étrier. Et dans le pire des cas, si c’est vraiment insurmontable, je vous rappelle que vous bénéficiez d’une garantie satisfait ou remboursé pendant 30 jours.

      A très vite

  4. Ok pour le pitch mais vous oubliez de dire que les semis ont fortement corrigé depuis le début de l’année ( de l’ordre de 30 %) après avoir explosés à la hausse depuis 2020 (150%).
    1) n’est ce pas trop tôt pour revenir si récession mondiale
    2) il semble que les capacités vont exploser dans les années à venir donc on va vers une surproduction.
    On appelle cela boom and burst : est ce que le marché ne voit il pas cela
    3) peut être faut il plutôt investir dans les fabricants de machine : Amat, Asml etc

    Merci de votre réponse
    3)

    1. Bonjour Laurent

      Merci pour votre question.

      L’article étant signé par notre expert Ian King, je n’ai pas la prétention de connaître le sujet aussi précisément que lui.

      Voici tout de même quelques éléments de réponses :

      Concernant le risque de récession mondiale, il est probable, vous avez raison. Pour autant, il est quasi impossible de trouver le timing parfait. C’est pourquoi je pense qu’il n’est pas absurde d’accumuler progressivement et régulièrement des petites positions. Si vous attendez trop longtemps d’être certain de ne pas vous tromper, vous arriverez après tous les autres et vous pourrez être sûr de passer à côté des plus gros profits.

      Toutefois, je vous recommande de rester prudent dans les montants, n’investissez jamais de l’argent que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre et pensez à diversifier vos investissements.

      Pour les capacités de production, elles vont certes augmenter dans les années à venir. Pour autant, n’oubliez pas qu’elles compenseront aussi la production d’origine chinoise sur laquelle nous pourrons sans doute de moins en moins compter.

      A très vite

  5. Bonjour, à quoi servent toutes ces nouvelles fonderies qui sont en train de se construire aux USA et en Europe puisque les chinois possèdent de toute façon le gros des terres rares nécessaires à la construction des semi-conducteurs ?

    1. Bonjour !

      C’est une bonne question. Effectivement, la Chine produit entre 60 et 70% des terres rares. Elle procède aussi au raffinage. Et c’est justement de ce monopole que les Etats-Unis cherche à sortir en investissant massivement. Pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur les liens disponibles dans l’article. C’est justement l’objet de la vidéo que j’ai enregistrée.

      A très vite

  6. Bonjour oui je suis d accord pour revenir vers des sociétés près de chez nous pour la fabrication des séminaires conducteurs et autres. Même plus cher. Mais il faudrait que les gouvernements mettent des traces à 5% au lieu de 20 pour que le peuple puisse acheter à des bons prix les objets Ordi tel… ce qui supprimerait enfin le chômage les fraudes…merci.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

La Lettre Héritage Éditions​

Inscrivez-vous gratuitement à la newsletter financière Héritage Éditions !

Vous recevrez en cadeau le dossier « 3 actions à gros dividendes à avoir dans son portefeuille pour 2024 »

Téléchargez le dossier gratuit

Téléchargez le dossier