Tout a commencé avec Superman III, sorti en 1983.

C’était la première fois que je voyais mon héros de bande-dessinée sur grand écran.

Au lieu d’affronter des méchants comme Lex Luthor, Superman affronte ici… un super-ordinateur.

Je n’avais que huit ans à l’époque et je me souviens avoir regardé avec stupéfaction un ordinateur géant devenir « vivant ».

Dans le film, la machine est créée pour des raisons financières dans l’espoir de s’emparer des marchés mondiaux de l’énergie. Mais une fois conscient, l’ordinateur décide de conquérir le monde.

Même Superman a eu du mal à l’arrêter !

Pour des millions d’Américains (dont je faisais partie), c’était la première fois que nous entendions parler d’intelligence artificielle (IA).

Ce n’était qu’un fantasme à l’époque.

Mais aujourd’hui, les IA font partie de notre vie quotidienne.

La pizza que vous avez commandée la semaine dernière ? Le système a utilisé l’IA pour s’assurer qu’elle arrivait bien chaude.

Ces publicités que vous voyez sur internet ? Elles ont été choisies par l’IA.

Vous avez peut-être même regardé Superman III sur Netflix parce que leur IA vous l’a recommandé…

Les transactions gérées par ordinateur représentent 60 à 75% du volume quotidien des plus grands marchés d’actions.

D’ici 2024, le marché mondial du trading algorithmique représentera 18,8 milliards de dollars.

En moyenne, il y a 66,7 milliards de transactions électroniques chaque jour. Cela représente plus de 750 000 transactions par seconde !

Et comme dans le film, cette technologie est en train de révolutionner la finance.

Mais au lieu de conquérir le monde, elle est maintenant en mesure de sauver des millions de vies.

Le magazine The Times a qualifié cette percée de « progrès unique en son genre ».

Mark Cuban pense que cette tendance pourrait faire naître « le premier trillionnaire du monde » (1 trillion = 1 000 milliards).

Un fonds spéculatif de Wall Street estime même que l’opportunité est « plus convaincante que Tesla en phase de démarrage ».

Ce n’est pas rien. Regardez le succès à long terme de Tesla :

Et ce ne sont pas que des paroles en l’air.

Certains des plus grands cerveaux du monde investissent une fortune dans cette nouvelle tendance.

Il est intéressant de noter que les gens l’utilisent tous les jours (souvent sans s’en rendre compte).

Bill Gates : cette percée de l’IA « vaut 10 Microsofts »

Lorsque vous investissez dans une technologie de pointe, c’est simple : suivez l’argent des investisseurs intelligents (la “smart money” en anglais).

Après tout, il n’y a personne de mieux placé pour trouver la prochaine grande avancée… que le génie qui a trouvé la dernière.

L’investissement précoce de Jeff Bezos dans Google en est un parfait exemple.

Il a investi 250 000 dollars en 1998. Aujourd’hui, sa participation initiale vaut 8 milliards de dollars.

Peter Thiel est un autre génie milliardaire de la technologie.

Après avoir vendu PayPal à eBay pour 1,5 milliard de dollars, Peter Thiel aurait pu se reposer sur ses lauriers. Au lieu de ça, il s’est lancé dans un nouveau réseau social prometteur : Facebook.

Il a gagné environ 200 000% lorsque Facebook est entré en bourse.

Et puis il y a Elon Musk.

Certaines personnes pensent qu’il a fondé Tesla, à tort. C’est en fait, un des premiers investisseurs, en 2004.

Depuis qu’il a pris les rênes en 2008, Musk a fait de Tesla la cinquième plus grande entreprise technologique du monde. Sa participation est évaluée à 131 milliards de dollars.

Et certains de ces génies de la technologie sont sur une nouvelle sous-catégorie d’actions IA…

La première est une société appelée Relay Therapeutics (Nasdaq : RLAY).

Je parle de cette action à mes abonnés depuis des années.

Je vous en dirai plus sur sa technologie de pointe dans un instant.

Mais voici ce que vous devez savoir maintenant…

SoftBank possède plus d’un quart de Relay. SoftBank est la plus grande société de capital-risque axée sur la technologie, au monde.

En mars dernier, elle a enregistré le plus gros bénéfice jamais réalisé par une entreprise japonaise : 36,99 milliards de dollars.

Schrödinger (Nasdaq : SDGR) est un autre acteur majeur de cet écosystème.

Sans surprise, la Fondation Bill et Melinda Gates détient 22,68% de SDGR.

Fin 2020, Gates a vendu plus de 50% de ses parts dans Google, Apple, Amazon, Uber et Berkshire Hathaway.

C’est la seule société dans laquelle il a acheté des actions.

Sa fondation détient actuellement près de 7 millions d’actions !

ARK Invest, de Cathie Wood, n’est pas loin derrière.

Rien qu’au cours des trois derniers mois, ARKG a acheté près d’un million d’actions supplémentaires :

ARK Invest contrôle maintenant 4,15% de Schrödinger.

Mais ils ne sont pas seuls, voici les autres “poids lourds” qui ont également investis :

• Vanguard possède 6,95%.
• BlackRock possède 5,22%.
• Le Crédit Suisse détient 3,12%.
• Citadel détient 2,13%.

 

Les plus grands investisseurs mondiaux dans le domaine des technologies se démènent pour contrôler le plus rapidement possible ce secteur.

Et ils ne cachent pas non plus leurs motivations.

Cathie Wood pense qu’il pourrait « approcher les 17 000 milliards de dollars de capitalisation boursière – ce qui représenterait 35 Amazons ».

Et bien avant d’investir dans SDGR, Bill Gates a déclaré : « Si vous inventez une avancée majeure dans l’intelligence artificielle, de sorte que les machines puissent apprendre, cela vaut 10 Microsofts ».

Même Warren Buffett pense que cela aura un « effet social extrêmement bénéfique ».

Mais en quoi consiste exactement cette nouvelle tendance ? Comment va-t-elle transformer notre monde ? Et quelle est la meilleure façon d’en profiter ?

Eh bien, cela commence par…

Comme je l’ai dit, la plupart d’entre nous interagissent déjà avec l’IA tous les jours. Nous ne le voyons même pas !

Mais chaque fois que vous ouvrez votre application Netflix, vous utilisez une IA. Un système parcourt des montagnes de données pour vous proposer des recommandations personnalisées.

Et ces systèmes créent de nouvelles données aussi vite qu’ils lisent les anciennes.

Ainsi, très vite, Netflix « apprend » quels types de films vous préférez.

Le système personnalise vos recommandations pour que vous continuiez à les regarder (dans mon cas, cela signifie me recommander des classiques des années 80).

Le système est si efficace que les utilisateurs de Netflix regardent 6 milliards d’heures de contenu chaque mois.

Voici un autre exemple : vous vous documentez en ligne sur un vieux hobby. Puis, soudainement, Facebook commence à vous envoyer des publicités pour des produits connexes.

Ou bien vous planifiez des vacances sous les tropiques – et les publicités passent aux lunettes de soleil et aux chemises Tommy Bahama.

Il n’y a aucun élément humain dans tout cela. Chaque décision est automatisée.

Elles sont pilotées par de nouveaux systèmes d’IA qui peuvent apprendre et s’adapter. C’est le genre de chose qui n’était pas possible il y a seulement quelques années.

Et maintenant, cette même technologie commence à révolutionner l’espace pharmaceutique…

Revenons à Relay et Schrödinger.

Ces entreprises utilisent toutes deux des plateformes basées sur l’IA pour concevoir et tester de nouveaux composés chimiques.

L’approche de chaque entreprise est différente.

Mais elles sont toutes deux des milliers de fois plus rapides et moins chères que les méthodes traditionnelles.

Les grandes entreprises pharmaceutiques d’aujourd’hui testent quelques milliers de nouveaux candidats médicaments tous les deux ans. Ces nouvelles plateformes permettent d’en explorer des milliards en deux fois moins de temps.

C’est un énorme bond en avant.

Dans toute l’Histoire, les scientifiques ont catalogué un total de 100 millions de composés.

Ces nouvelles plateformes pourraient en explorer dix fois plus dans les trois prochaines années.

Et la technologie porte déjà ses fruits…

La semaine dernière, Relay Therapeutics a grimpé de 38% après que son nouveau médicament candidat de phase 2 ait dépassé les attentes lors d’un récent essai.

Le médicament a été développé à l’aide de la plateforme Dynamo de Relay.

Dynamo utilise l’IA pour simuler la façon dont les protéines se déplacent. Cela aide Relay à concevoir des médicaments qui sont hyper-sélectifs pour les protéines responsables d’une maladie.

C’est ainsi que son nouveau médicament s’est révélé deux fois plus efficace que le traitement concurrent le plus proche dans cet essai.

C’est une étape importante pour Relay.

Et bien sûr, ce médicament n’est pas le seul… L’entreprise fait également des choses incroyables dans le domaine.

Deux nouveaux traitements contre le cancer (Tibsovo et Idhifa) – développés sur la plateforme de SDGR – ont déjà été approuvés par la FDA.

Tibsovo est le premier médicament de ce type, et il est en train de changer la façon dont les médecins envisagent la chimiothérapie.

Le Dr E.M. Stein du Sloan Kettering (centre de traitement et de recherche sur le cancer à New York) affirme que c’est « la première thérapie ciblant le métabolisme du cancer à démontrer un bénéfice impressionnant et significatif en termes de survie sans récidive et de survie globale… ».

Idhifa est un traitement révolutionnaire pour les cas de rechute de leucémie.

Selon la FDA, son utilisation est associée à « une rémission complète chez certains patients ».

La rapidité de l’innovation est essentielle au succès.

En accélérant la recherche et le développement (R&D), l’IA peut développer des médicaments très spécifiques pour des maladies ciblées.

C’est pourquoi le nouveau médicament de Relay est tellement plus efficace.

Schrödinger sait aussi que sa plateforme est performante et c’est pourquoi elle concède des licences pour sa technologie révolutionnaire.

Les 20 plus grandes entreprises pharmaceutiques utilisent la plateforme SDGR pour trouver le prochain médicament révolutionnaire.

Et elles font des progrès rapides :

Mais il n’y a pas que Big Pharma qui utilise l’IA pour soigner les maladies…

Le géant de l’aéronautique Boeing utilise l’IA pour développer des matériaux plus légers et plus résistants pour ses avions de prochaine génération.

Même des chercheurs de Harvard et de plus de 1 250 universités utilisent la plateforme.

Je ne suis donc pas le seul à penser que cela pourrait être…

La plus grande percée industrielle depuis l’électricité

Il est difficile de se faire une idée de l’ampleur de cette tendance.

Nous n’avons pas vu une innovation aussi puissante depuis un siècle. C’est à cette époque que l’électricité a fait son apparition dans les villes américaines.

Ce fut une percée technologique incroyable : imaginez voir les lampadaires s’allumer pour la première fois !

L’énergie électrique a déclenché un raz-de-marée de nouveaux commerces et de développements.

Soudainement, chaque maison en Amérique n’avait pas seulement besoin d’éclairage… mais aussi d’appareils électriques, comme des réfrigérateurs et des cuisinières.

Puis vinrent les radios, télévisions et finalement les ordinateurs. L’électricité était la clé pour débloquer toutes ces innovations du 20e siècle.

Aujourd’hui, au XXIe siècle, l’IA est la clé qui permettra de réaliser le prochain grand bond en avant.

Des médicaments personnalisés aux matériaux et équipements sur mesure, elle pourrait accélérer une toute nouvelle génération de progrès.

Et n’oubliez pas que les investisseurs technologiques les plus avant-gardistes du monde sont déjà à bord.

Compte tenu de leurs antécédents, je ne voudrais pas passer à côté de cette technologie nouvelle génération.

L’IA est la prochaine étape technologique, êtes-vous prêt ?

Avez-vous déjà pensé à l’IA qui se cache derrière vos recommandations Netflix ou vos publicités en ligne ?

Que diriez-vous de prendre un médicament conçu par une intelligence artificielle ?

Et si vous confiiez votre volant à une voiture autonome ?

Cette tendance a un énorme potentiel. Mais seulement si les utilisateurs sont prêts à l’adopter…

J’ai hâte de lire en commentaires ce que vous en pensez !

À très vite,

Ian King