Essayez cette stratégie en 4 étapes pour sélectionner les meilleures actions

Je ne sais pas ce que ça dit de moi, mais quand quelque chose est trop populaire… Je suis sceptique.

Bien sûr, je ne suis qu’un être humain. Je finis par admettre (un peu à contrecœur) que la dernière tendance à la mode tient ses promesses.

Mais, d’un autre côté, il est parfois utile d’être un anticonformiste.

Personne ne fait confiance au marché boursier en ce moment.

Chaque fois qu’il y a un rallye de plusieurs jours comme la semaine dernière, il est rapidement taxé de  « rallye de marché baissier ».

C’est là que les investisseurs anticonformistes prospèrent.

Je suis déjà passé par là

J’ai vécu la bulle Internet, la crise de 2008 et le crash du COVID de 2020. Et à chaque fois, les médias étaient tout excités à l’idée qu’il s’agissait de la prochaine « Grande Dépression ».

Ils ont dit que les actions seraient en baisse pendant 10 ans et qu’il était temps de se retirer définitivement de cette classe d’actifs.

Pourtant, à chaque fois, dans les six mois à un an qui suivaient… les actifs étaient soit à leur plus haut niveau, soit en train d’y retourner.

Maintenant, je n’ai jamais caché que je m’attends à un massacre des classes moyennes au cours de l’année prochaine…

Les riches s’enrichissant et les pauvres s’appauvrissant, les gens qui restent au milieu vont se faire presser…

Mais vous ne devez pas être pris au dépourvu.

En dépit de tout, il y a une catégorie d’actions qui, selon moi, se redresseront au milieu du bain de sang…

Trouver des opportunités au milieu de l’effusion de sang

Il y a un vieux dicton à Wall Street : « Le meilleur moment pour acheter c’est quand plus personne ne veut le faire« .

Au fond, j’ai toujours été un anticonformiste.

Et je peux vous dire que ce n’est pas facile. Surtout après l’année dernière, il semble plus facile de suivre le troupeau et de rester sur la touche, en se préparant à de nouvelles pertes.

Cependant, certaines des plus grandes opportunités se trouvent à contre-courant.

Permettez-moi de vous donner un exemple tiré de l’époque où j’étais dans un fonds spéculatif, pendant la crise financière.

Au début de 2009, les actions étaient en chute libre, la valeur des maisons s’effondrait et des banques comme Bear Stearns, Washington Mutual et Lehman Brothers faisaient faillite.

C’était une période effrayante pour un investisseur. Surtout après que les banques les plus faibles soient tombées comme des dominos.

Mais en tant qu’étudiant en histoire économique, je savais que ce n’était pas le moment d’avoir peur.

Alors que tout le monde vendait, j’y ai vu l’opportunité de ma vie.

Et j’y suis allé à fond.

J’ai misé sur les meilleures opportunités, tout comme Jesse Livermore, Franklin Templeton et Tudor Jones l’ont fait pour faire fortune.

En fin de compte, j’ai fini par réaliser un bénéfice qui a changé la donne pour mon fonds spéculatif de l’époque. Assez pour nous mettre sur la carte.

Et en ce moment même, je repère le même type d’opportunité dans les actions à petite capitalisation.

Si vous avez lu mon dernier article, vous savez que je suis favorable aux petites capitalisations pour de nombreuses raisons. Mais depuis, l’activité du marché a confirmé mes attentes.

Après que le président de la Fed, Jerome Powell, a annoncé une nouvelle hausse des taux d’intérêt la semaine dernière et que les actions se sont redressées, les petites capitalisations se sont redressées encore plus fort.

Il suffit de regarder les données. Le S&P 500 a progressé de 2,2% au cours des cinq derniers jours. Le Russell 2000, un indice de référence des petites capitalisations, est en hausse de 3,5%.

Ce n’est pas une surprise pour moi. Car mes recherches montrent que, historiquement, les petites capitalisations sont les plus grandes gagnantes lorsque le marché se redresse.

Le National Bureau of Economic Research confirme : « Les petites capitalisations ont nettement surpassé les grandes entreprises au cours de la première année suivant une récession. »

Selon les mesures historiques, avec deux trimestres de croissance négative pour commencer 2022 – nous avons déjà traversé une récession.  Et il y a de bonnes chances que nous puissions en éviter une autre cette année.

C’est pourquoi l’ETF iShares Russell 2000, qui suit les actions à petite capitalisation, est en hausse de plus de 10% pour commencer l’année.

Mais trouver ces gagnants à petite capitalisation est plus facile à dire qu’à faire.

C’est une chose d’identifier la section des actions dont vous attendez une hausse. Mais c’est une toute autre chose de trouver le titre prometteur qui finira par produire un rendement déterminant pour l’année ou la décennie à venir.

Pour les trouver, vous devez être capable de vous frayer un chemin dans le fouillis…

Ma stratégie en 4 étapes pour cibler les actions gagnantes

Pendant la majeure partie de ma carrière d’investisseur, j’ai suivi une stratégie en quatre étapes pour repérer les actions gagnantes sur n’importe quel type de marché. Voici ce que je fais :

Je réduis l’univers des actions à une capitalisation boursière particulière. Dans ce cas, j’examine les capitalisations boursières comprises entre 100 millions et 2 milliards de dollars.

Je détermine si l’entreprise est une va révolutionner son secteur.

(Est-ce qu’elle révolutionne son secteur comme Netflix l’a fait avec le streaming ?)

J’analyse les chiffres, en particulier la croissance des revenus. Je veux m’assurer que l’entreprise va dans la bonne direction.

Ensuite, je regarde les documents S-3 déposés par de riches sociétés d’investissement pour voir si la “smart money” (les fonds d’investissements, les VCs…) est en train d’acheter. Cela me dit que c’est le moment d’y aller.

Mais, si vous êtes comme moi, il est plus facile de voir ce système en action. Prenons l’exemple d’OpenTable, le site de réservation de restaurants.

L’entreprise est entrée en bourse juste après la crise financière de 2008. Les marchés étaient brutaux à l’époque.

Avec une capitalisation boursière de 619 millions de dollars, OpenTable a immédiatement franchi ma première étape.

Passons donc à la deuxième étape, où j’analyse son potentiel de disruption.

En surface, OpenTable semblait être une mauvaise affaire – l’industrie de la restauration était en train de se faire marteler à l’époque.

Mais pour faire fortune sur un marché baissier, vous devez être prêt à aller à contre-courant.

Le secteur de la restauration n’était pas en train de mourir – il était sur le point d’être bouleversé.

La façon dont les gens trouvaient des endroits où manger, commandaient des plats, faisaient des réservations… tout était sur le point de changer. Bientôt, tout allait se faire à partir d’un smartphone.

OpenTable était à l’avant-garde de tout cela, en tant que plateforme unique que les gens pouvaient utiliser pour faire une réservation dans N’IMPORTE QUEL restaurant.

C’est ce que vous voyez lorsque vous analysez le potentiel perturbateur.

Mais ce n’est qu’une étape de mon analyse. Ce qui m’amène à ma troisième étape : l’analyse des chiffres.

La croissance des revenus – ma métrique la plus importante – était hors normes pour OpenTable. Même avant d’entrer en bourse, elle était en croissance constante.

En trois ans seulement, l’entreprise a doublé ses revenus et a continué à progresser.

Rien n’indiquait donc que l’entreprise avait des difficultés financières. Même pendant la Grande Récession, l’entreprise était toujours en croissance.

Mais j’avais encore une dernière vérification à faire. J’avais besoin de voir si la “smart money” investissait dedans.

Et bien sûr, c’était le cas.

Le 30 janvier 2009, peu après l’entrée en bourse d’OpenTable, Bank of America Securities a discrètement investi près de 70 millions de dollars. En plein milieu de la récession.

C’est un indicateur assez clair que l’argent intelligent était confiant dans le futur d’OpenTable.

Ma stratégie aurait flashé un signal d’achat à 20$ par action.

En 15 mois, l’action s’échangeait à 115$.

Un gain de 475%, à un moment où le marché a chuté de près de 50%.

C’est ce qu’on appelle une fortune dans un marché baissier !

Ces opportunités sont tout autour de nous lorsque les choses se compliquent. Il faut juste creuser un peu.

Actuellement, je pense que la meilleure opportunité que nous ayons est une société qui opère dans le secteur ultra dynamique des véhicules électriques.

Mes recherches ont même montré que c’était elle qui pourrait bientôt devenir indispensable à tous les constructeurs automobiles…

Pour être clair, elle occupe une place si stratégique qu’elle pourrait faire x10 d’ici quelques mois.

Mais je ne vous en dis pas plus ici.

Pour tout découvrir sur cette société, cliquez ici pour accéder à mon rapport sur le sujet :

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