L’Histoire montre qu’un rallye boursier massif est à venir

Les amateurs des conversations météo connaissent sans doute ce vieux dicton : « Si mars arrive comme un lion, il sort comme un mouton ».

Comprenez par là qu’en début de mois, les jours hérités de l’hiver sont encore très froids. Alors qu’en fin de mois, les journées se réchauffent et le temps se calme à l’arrivée du printemps.

Mais la météo n’est pas le seul changement notable qu’on observe au mois de mars.

À l’époque de la Rome Antique, les “ides de mars” étaient le 74e jour du calendrier romain. Elle correspond à notre 15 mars.

Ce jour de festivités religieuses, dédié au dieu Mars, était aussi connu comme un jour où l’on règle ses dettes.

En 44 av. JC, cette date est devenue célèbre pour l’assassinat de Jules César. Ce fut un tournant majeur dans l’histoire romaine et dans l’histoire du monde.

Pour les investisseurs en bourse, les ides de mars vont-elles apporter un changement à la baisse actuelle ?

L’année 2022 s’annonce historique

Beaucoup d’investisseurs en valeur de croissance ont dû se sentir comme Jules César cette année.

Les marchés ont connu leur 4e plus mauvais début d’année du siècle dernier.

Le 15 mars dernier, l’indice S&P 500 était en baisse de -11,8%.

Mais historiquement, les reprises ont été fortes après des grosses baisses du marché.

La semaine dernière semble aller dans cette direction, puisque le S&P 500 a repris +6,9% en 5 jours.

Et ce malgré les annonces de la Fed sur la hausse des taux. Ce qui veut dire que le marché a intégré la hausse.

En d’autres termes : l’année s’annonce historique.

Elle a commencé par la plus forte hausse de l’inflation depuis 40 ans. Puis la Réserve fédérale a admis qu’elle s’était trompée sur l’inflation.

Pour ne rien arranger, l’invasion de l’Ukraine par la Russie fait exploser les prix des matières premières comme le pétrole, le blé et le nickel.

Mais, en tant qu’investisseurs, il y a tout de même une bonne nouvelle pour nous.

Quand le marché commence l’année par une forte baisse, il connaît généralement une forte croissance sur le reste de l’année.

Bien sûr, je n’ai pas de boule de cristal, mais historiquement, les 14 dernières fois que le marché a connu une baisse significative en début d’année, il a fini l’année en forte hausse, 12 fois.

12 fois sur 14 !

Et globalement, plus le marché est touché durement, plus les reprises sont fortes.

Je me souviens très bien de début 2009, en pleine crise financière. À Wall Street, les pessimismes ont prédit l’apocalypse pour la fin de l’année.

Mais finalement, la crise s’est atténuée et le marché a rebondi de +48,5%.

Il y a 2 ans, avec la crise du Covid, j’avais déjà publié un article où j’écrivais que la chute généralisée du marché serait suivie par un gros rallye boursier.

Je l’avais alors appelée la « mère de toutes les bulles ». Et le marché a repris +37% sur le reste de l’année.

Je n’étais pas né en 1935, quand le marché est tombé de -14,1%. Mais après cette liquidation, la bourse est remontée de +64,6% !

“Acheter quand le sang coule dans les rues”

Aujourd’hui, les événements sont différents. Mais le sentiment est le même.

Chaque fois que le marché baisse, c’est pour une autre raison. Mais celle-ci implique toujours les mêmes décisions irrationnelles des humains que nous sommes.

Pour citer l’écrivain français Jean-Baptiste Alphonse Karr, « Plus ça change, plus c’est la même chose ».

Les investisseurs s’inquiètent de la guerre. Ils s’inquiètent de l’inflation galopante. Ils s’inquiètent des décisions de la Fed.

Mais comme on l’a vu la semaine dernière, suite aux annonces de Powell, ces inquiétudes sont déjà prises en compte par le marché.

La baisse que nous avons vu appartiendra bientôt aux livres d’histoire. Mais en attendant, “il y a du sang dans les rues” comme disait Nathan Mayer Rothschild.

Autrement dit : Les pessimistes devraient se méfier des ides de mars, car c’est le moment d’acheter.

PS : Si vous voulez passer à l’action mais que vous ne savez pas par où commencer, allez vite découvrir cette opportunité technologique au potentiel x3 d’ici la fin de l’année.